Les aliments ont-ils le pouvoir de recharger
également notre corps énergétique ?
Jacques Antonin vous propose de découvrir
la face cachée de votre assiette...
Conférencier et paysan-boulanger, Jacques Antonin a des allures de sage et une infinité de connaissances à transmettre. Durant des années, il a effectué des recherches sur les résonances vibratoires des graines germées, des céréales, des fruits et des végétaux sur le corps humain. Il explique l’importance du choix des aliments que nous mangeons, tous porteurs de vibrations, mais également de la qualité de notre environnement…
Quels besoins fondamentaux de l’être humain sont comblés par la nourriture physique?
J.A. : La nourriture physique est un support d’informations de plusieurs origines : lumineuses, sonores, gustatives. Ce qui nourrit vraiment sur le plan énergétique, qui va donner la structure lumineuse à l’être humain, c’est une alimentation vivante. C’est dans cette lumière structurée que se trouvent les bases d’une alimentation performante. L’alimentation « moderne » a perdu ces forces de lumière structurée. Le plus souvent elle encrasse plus qu’elle ne nourrit. Elle conserve des éléments que l’on aime : des saveurs, des odeurs, des formes et des couleurs attirantes. Mais ce ne sont pas des informations structurantes naturelles, ce qu’on appelle les « biophotons actifs ».
L’alimentation la meilleure, selon les travaux de Fritz Albert Popp, c’est celle qui est capable de transmettre une information qui pénètre la matière et la met en vibration. C’est la même chose pour le son avec les harmoniques. Le son touche la matière et rebondit, mais s’il est chargé d’harmoniques, il pénètre la matière et la met en vibration. On n’a pas du tout le même rapport avec un aliment lumineux, structuré, qu’avec un aliment mort et « artificiel ».
Quels besoins fondamentaux de l’être humain sont comblés par la nourriture physique?
J.A. : La nourriture physique est un support d’informations de plusieurs origines : lumineuses, sonores, gustatives. Ce qui nourrit vraiment sur le plan énergétique, qui va donner la structure lumineuse à l’être humain, c’est une alimentation vivante. C’est dans cette lumière structurée que se trouvent les bases d’une alimentation performante. L’alimentation « moderne » a perdu ces forces de lumière structurée. Le plus souvent elle encrasse plus qu’elle ne nourrit. Elle conserve des éléments que l’on aime : des saveurs, des odeurs, des formes et des couleurs attirantes. Mais ce ne sont pas des informations structurantes naturelles, ce qu’on appelle les « biophotons actifs ».
L’alimentation la meilleure, selon les travaux de Fritz Albert Popp, c’est celle qui est capable de transmettre une information qui pénètre la matière et la met en vibration. C’est la même chose pour le son avec les harmoniques. Le son touche la matière et rebondit, mais s’il est chargé d’harmoniques, il pénètre la matière et la met en vibration. On n’a pas du tout le même rapport avec un aliment lumineux, structuré, qu’avec un aliment mort et « artificiel ».
Jacques Antonin - © D.R.
On se nourrit donc principalement de lumière ?
J.A. :Dans l’alimentation matière il y a des informations lumineuses, mais également des ondes de formes : du son. Toutes les formes sont d’origine sonore, selon Viktor Schauberger. On peut se nourrir avec des sons, par le biais des formes, et vice versa : les sons ont un impact sur la forme. C’est pour cela que quand on chante, ou quand on écoute de la musique, on se nourrit. En ce qui concerne la lumière, il s’agit de la structure. L’humain est construit avec un référentiel de base, qui est une structure lumineuse. Celle-ci se remplit de cellules qui sont chargées d’informations, qui s’agglomèrent autour de la structure. Cela veut dire que si l’on boycotte la matière, comme le font certaines personnes qui se passent complètement de nourriture matérielle, on peut se nourrir d’ondes électromagnétiques lumineuses ou sonores, et surtout grâce à la respiration de l’air lumineux. Encore faut-il comprendre comment cela fonctionne et être dans un niveau de conscience propice.
Notre environnement sonore et visuel a donc de l’importance au même titre que ce que l’on mange ?
J.A. :Pour qu’un environnement soit « nourrissant », il faut que la lumière soit naturelle, comme dans une forêt, une prairie, la montagne ou la mer par exemple, chargés d’air lumineux en mouvement. Les couleurs et les formes génèrent des sons, qui vont remplir cette structure lumineuse, et qui vont lui donner une forme qui correspond à ce que Rupert Sheldrake appelle les « champs morphogénétiques ».
Le corps physique trouve ses protéines grâce aux bactéries qui se logent dans notre système digestif, dans la mesure ou l’on accompagne le phénomène. S’il n’y avait pas de bactéries, nous ne pourrions pas nous nourrir de lumière et de son. Grâce à elles, un phénomène de transmutations biologiques s’active lorsque nous respirons. Elle nous amène les éléments dont nous avons besoin, dont les protéines, d’origine azotées. L’azote, c’est le gaz qui a été boycotté dans la composition de l’air, alors qu’il représente 78% de celui-ci. Ce pourcentage est considéré comme « neutres », inutile. Alors que toutes les protéines sont d’origine azotée et proviennent de l’air que l’on respire.
Si l’on a un système bactérien équilibré dans notre système digestif, de la bouche à l’extrémité du colon, nous n’avons pas d’inquiétude à avoir. En respirant et en évoluant dans un monde lumineux et sonore harmonieux, on reçoit la nourriture de base de notre organisme humain.
En l’état actuel du monde, nous disposons donc d’informations de crises, de conflits. Quelles en sont les répercussions ?
J.A. :La qualité de l’atmosphère, donc l’ambiance dans laquelle on vit est déterminante. Depuis des siècles on a crée des atmosphères de guerre, de stress, des pollution atmosphérique etc. Ces informations sont stockées dans l’air lumineux et chargé de vapeur d’eau de l’atmosphère terrestre, à travers les ondes électromagnétiques particulièrement. Et c’est ce qui est à l’origine de la perturbation du climat. Le CO2 ne représente que 0,035% de cette perturbation. C’est dérisoire ! Ce qui perturbe le climat ce sont les ondes électromagnétiques artificielles, agissant comme dans un micro-onde, sur la vapeur d’eau de l’atmosphère.
Les ondes électromagnétiques sonores et lumineuses solaires fécondent l’atmosphère terrestre au moment ou elles traversent la ionosphère. Au delà, entre la ionosphère et le soleil, il n’y a pas de lumière, pas de son, et pas de chaleur. Il n’y a que des ondes électromagnétiques. Le soleil est donc noir, il n’est pas lumineux (voir les travaux de Louis-Claude Vincent et Jeanne Rousseau). La lumière apparaît au moment ou les ondes électromagnétiques solaires fécondent l’atmosphère terrestre. Ce qui génère la température terrestre c’est la vapeur d’eau contenue dans l’atmosphère. Elle est à l’origine de l’effet de serre, qui maintient la vie sur terre. Or depuis 60 ans à peu près, on a saturé la terre d’ondes électromagnétiques artificielles, et cela augmente à chaque seconde avec les téléphones portables, et tous les modes de télécommunication.
Cela as t’il un impact sur notre bien-être émotionnel ?
J.A. :L’émotion est en lien avec le corps astral de l’humain, ou autrement dit son aura, son âme. L’ « âme » de la planète terre, c’est son atmosphère. Et chaque humain est relié directement à la conscience collective. Cette détresse, cette tristesse, cette guerre au lieu de la joie perturbe le mental des humains, et le mental des humains perturbe l’atmosphère. Ce phénomène exponentiel fait que la machine s’emballe, et que pour se nourrir, on compense avec des matières artificielles, car nous ne sommes jamais satisfaits.
La nourriture physique que nous mangeons chaque jour impacte t’elle aussi sur notre bien-être ?
J.A. :La « vraie » nourriture est en lien avec ce que l’on aime. Ce qui importe c’est aussi bien ce que l’on fait, que ce que l’on vit, que ce que l’on mange. Cela est toujours basé sur la relation affective avec notre entourage, qu’il soit matière, social, culturel, spirituel, etc. C’est quand on est dans un processus relationnel d’amour, que l’on a une bonne nourriture pour l’âme. Et là on est dans un processus de plénitude, pas de compensation, on trouve toutes les informations dont on a besoin.
Les besoins sont déterminés au moment où l’on sort du ventre de la maman. Pendant les 4 premiers jours le colostrum vient installer l’ensemble des bactéries et des virus bactériophages dans notre système digestif. Il met en place le transit intestinal, dans la mesure ou les besoins de l’enfant sont pris en compte comme il le faut. On met en place la capacité de « faire ses besoins », pour pouvoir recevoir une nourriture qui « remplit » l’être humain, et qui lui correspond. Il faut deux semaines après la sortie du ventre de la maman pour que cela se mette en place, et pour que le lait maternel devienne parfaitement adapté à l’enfant.
Peut-on classifier les aliments, « bons » ou « moins bons » pour notre bien-être ?
J.A. :C’est le travail qu’a fait Edmond Bordeaux Székely, qui a ouvert des centres d’alimentation vivante, dont le centre Hippocrate aux Etats-Unis. Il a établi une classification de l’alimentation qu’on appelle « biogénique » en 4 catégories: bioactive, biogénique, biostatique, et biocidique. Cette classification est faite par lumière décroissante. Un enfant lorsqu’il sort du ventre de sa maman est comme une graine germée. Il émet 200 biophotons par centimètre carré par seconde. Pour un adulte, c’est moitié moins. D’où l’importance de trouver une alimentation qui correspond à l’enfant, pour ne pas tomber dans une problématique physique de dépendance, qu’il faudra réparer par la suite. La base de l’alimentation c’est ce qu’on aime avec un grand A, et ça commence par l’amour d’une maman pour son enfant.
Donc mieux vaut manger quelque chose que l’on aime, même si cet aliment n’est pas idéal?
J.A. :Lorsque quelqu’un ne mange que des frites, il y a une raison. Il y a des souvenirs associés, qui font que cela nourrit : c’est l’aspect affectif. Le plaisir de manger est à prendre en compte, comme l’aspect vivant, la lumière. Jasmuheen, une australienne avec qui j’ai eu la chance de faire des séjours et qui ne mange plus de nourriture physique, dit que si on est en bon état de santé, et qu’on aime ce que l’on mange on peut même manger du poison. C’est ça le principe, d’être en accord avec ce que l’on mange. Cela passe par un organisme en bon état, un logiciel sélectif qui nous permet de trouver ce qu’il nous faut. Un des éléments qui perturbent le plus la capacité de comprendre ses besoins, c’est la vaccination, qui nous détourne de notre capacité à les comprendre.
Tout est donc relié : l’état de la planète, notre état émotionnel, ce que l’on mange … ?
J.A. :Bien sûr ! C’est pour cela que je recommande aux personnes qui traversent des périodes chaotiques de retourner vers la nature. Elle a un pouvoir extraordinaire. Et de faire du jardinage ! Y passer du temps nourrit autant que de consommer ce que l’on a produit. Cela crée des ambiances que la terre aime : la nourriture de la terre, c’est la joie ! D’ailleurs on a transformé la phrase d’origine « tu naitras dans la joie, et grandiras dans la paix » en « tu enfanteras dans la douleur, et tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Ce serait bien de revenir à la phrase d’origine. Je vous recommande de suivre la sortie du film Amsha « de la peur à la joie » si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet.
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