Les dix commandements nécessaires pour aborder le malade d’Alzheimer et pour communiquer avec lui.
Les dix commandements en 10 images
Pour aborder le patient
Près de la personne, tu te tiendras;
Son nom, tu diras;
Son corps, tu toucheras;
A sa hauteur et face à lui, tu te tiendras;
Un contact visuel, tu établiras;
Pour communiquer avec le patient
Lentement et distinctement, tu parleras;
Des mots simples et concrets, des phrases courtes, tu emploieras;
Avec des gestes et le toucher, tes paroles, tu compléteras;
Un message à la fois, tu donneras;
Aux énoncés affirmatifs, tu recourras;
Texte de la Ligue Alzheimer a.s.b.l.
Attitude
- Commencer la conversation en s’identifiant et appelant la personne par son nom.
Rester face à face avec le malade.
Maintenir le contact des yeux.
Bouger lentement.
Toucher le malade sur le bras ou la main.
Employer des mots familiers.
Utiliser des phrases courtes et simples.
Parler lentement.
Parler doucement sans crier.
Poser une question à la fois.
Attendre la réponse.
Si vous répétez, le faire avec les mêmes mots.
Employer des expressions de visage et des gestes qui expliquent ou amplifient le message.
Guidances générales
Parler à la personne dans un endroit calme et sans distraction.
Faire comprendre à la personne et lui signaler que c’est à elle et avec elle que vous voulez lui parler.
Ecouter attentivement.
Surveiller d’éventuels signes d’anxiété ou de recul (augmentation des mouvements des mains, augmentation du son de la voix, agitation ou hostilité, aversion des yeux, froncement des sourcils).
Si le patient n’est pas réceptif, lui dire que vous comprenez qu’il ne veut pas parler maintenant et qu’il pourra le faire plus tard quand vous reviendrez plus tard pour le faire.
Faire comprendre à la personne et lui signaler que c’est à elle et avec elle que vous voulez lui parler.
Ecouter attentivement.
Surveiller d’éventuels signes d’anxiété ou de recul (augmentation des mouvements des mains, augmentation du son de la voix, agitation ou hostilité, aversion des yeux, froncement des sourcils).
Si le patient n’est pas réceptif, lui dire que vous comprenez qu’il ne veut pas parler maintenant et qu’il pourra le faire plus tard quand vous reviendrez plus tard pour le faire.
Il y a des choses que, pour le moment, nous ne pouvons pas comprendre dans leur comportement, mais peut-être un jour pourrons-nous l’expliquer.
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